On n’a légué à l’orpheline rien d’autre qu’une misérable lettre… Mais lorsqu’elle l’a lue, les rires de son mari et de sa maîtresse se sont mués en PANIQUE !
L’orpheline Maria était assise dans la pièce, froide comme une tombe, du bureau du notaire, voûtée sous le poids des regards moqueurs qui l’entouraient. De part et d’autre d’elle, tels des loups aux aguets, se tenaient Grigori, son mari, et sa maîtresse, Lidia. Lui, arborait un sourire suffisant, comme sûr d’avoir déjà gagné ; elle, laissait … Read more